jeudi 9 décembre 2010

Ouh là, un message sur ce blog ?!

Comment ça, ce blog est moribond?
J'avoue que je n'ai pas eu vraiment le temps de m'y consacrer. Je pensais rédiger quelques notes au fil des semaines, et cela fait, hum, ouh là là, depuis mi-août que ce boudoir est en hibernation.
Cela dit, il n'y a pas que lui. Mes lectures personelles sont au point mort (sauf si l'on compte Les Bibliothèques d'Anne-Marie Bertrand ou Les 100 mots de l'édition de Serge Eyrolles comme des lectures "plaisir", ce dont je doute fort), mes DVD prennent la poussière, et je n'ai pas fait de shopping depuis... octobre (oui, ça c'est vraiment dramatique, j'avoue). Ne parlons même pas de ma correspondance épistolaire qui se résume à 2 lettres courant octobre (dont une retournée par la Poste, merci chère amie!).

Mon quotidien se résume donc à des cours, du travail dans un appart' sans chauffage, des leçons de conduite terrorisante (ou terrorifiante comme dirait l'autre), et, heureusement, de grands morceaux d'anthologie entre amis. Et les promenades du fauve, aussi. Le saligaud s'est d'ailleurs auto-proclamé décorateur d'intérieur; c'est tellement plus beau un appartement décoré de papier toilette et de pots de yaourts grignotés!

On s'englue dans un quotidien. Le temps file. Et d'un coup, paf, le mois de décembre. Fichtre. Décembre signifie deux choses.

D'une part, des partiels. A raison d'un (minimum) par jour pendant 2 semaines (avant et après Noël, c'est pas drôle sinon). Miam. Et les profs de nous conseiller de lire tel ou tel titre. Euh, je veux bien, mais quand? Par perfusion pendant mes quelques heures de sommeil? (Tiens ça pourrait être une idée ça...). Enfin, dans l'immédiat, ce serait plutôt du café dont j'aurais besoin par perfusion. Je ris quand j'entends les conseils d'un pédo-psychiatre sur Europe 1, pour éviter le blues de l'hiver: éviter toute situation de stress, diminuer la quantité de travail, dormir deux heures de plus minimum chaque nuit, se faire plaisir. Ah. Certes. Ben je suis pas dans la mouise alors...

D'autre part, cela signifie Noël. Et qui dit Noël, dit cadeaux. Les cadeaux familiaux, ça passe encore. On trouve. Et puis une petite soeur ou une maman, on les connait suffisamment pour faire mouche. Le cadeau à Jules, ça se complique. Surtout quand l'anniversaire du-dit Jules était en octobre et qu'on s'était déjà bien creusé la tête. Cela finit par aboutir à une scène cocasse et quelque peu connotée, où la copine éperdue demande à un vendeur Fnac blasé si telle manette de jeu vidéo est bien "une manette qui vibre".
Quant aux cadeaux pour les parents de Jules, je vous laisse imaginer la galère...

Il faudrait que les éditions First publie un guide Les cadeaux de Noël pour les Nuls. Je suis sûre que ça deviendrait un best-seller.



Sur ce, je vous laisse... en espérant ne pas poster un nouveau message dans 4 mois!


Pensées caféinées.
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